Le texte anti-terrorisme du ministre français de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a été adopté la semaine dernière au Sénat, et en particulier son fameux article 9 qui permet à l’autorité administrative (et non à un juge judiciaire) de demander aux fournisseurs d’accès à internet de bloquer l’accès aux sites provoquant aux actes de terrorisme ou en faisant l’apologie. Dernière étape avant l’adoption définitive du teste : la commission mixte paritaire Assemblée nationale/Sénat.

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